FARE Association, par sa direction, a participé à des échanges avec la ministre du logement, Mme COSSE, à Carcassonne et celle de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social, Mme EL KHOMRI, à Paris.
En effet, une journée d’échanges sur la mise en oeuvre au niveau OCCITANIE du Plan Pluriannuel de lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale a été organisé à Carcassonne.
FARE Association a participé à l’Atelier sur l’Accés des jeunes au logement et présenté son projet social : Participer, se responsabiliser : être citoyen, par la mission héberger et loger.
Forte de son expérience de 24 ans, des compétences de son équipe et des partenariat, FARE a démontré que les résidents accueillis pouvaient prétendre au logement autonome avec ou sans accompagnement.
Le seul PROBLEME étant le manque de logement et la chèreté des logements, alors que des résidents ont des ressources suffisantes (formation, garantie jeune, CDD, Intérim, minma sociaux,...).
Le parc immobiliers de FARE, 47 logements permet de loger et d’accompagner les résidents vers l’autonomie et leur propre logement. Cependant, nous notons comme la région, un manque de places d’hébergement, environ 3500 places, chiffre cité, et surtout un manque d’engagement de l’Etat en crédit de construction et des bailleurs publics, qui malgré certaines opérations médiatisées, négligent un partenariat qui permettrai la sortie de nos institutions de prés de 30 % de nos résidents.
Donc la place pour accueillir ceux qui attendent.
Aprés, un échanges furtif avec la ministre et la remise de notre plaquette présentant FARE, nous lui avons rappelé que cette crise a des solutions car tous nous avons des projets peu onéreux et rapides à mettre en oeuvre.
La Boutique du logement de Habitat jeunes à Montpellier ou celle de PALEFICAT à Toulouse, qui accueille des jeunes avec leur chien dans la MAISON, comme FARE montre que nous avons l’expertise de projet et la connaissance de ce secteur AHI.

A Paris, ce fût, un colloque sur le FSE (Fond Social Européen) qui finance les institutions ou autres pour redynamiser l’insertion professionnelle des jeunes en Europe (IEJ).
FARE a mis en oeuvre en 2014-2015, un FSE pour la recherche de formation et d’emploi des résidents de ces structures.
Un poste d’animatrice d’insertion et un poste de conseiller d’insertion et de formation et d’emploi (CIFE) a été mis à disposition des résidents pour l’élaboration et la concrétisation de leur projet professionnelle parallélement à leur hébergement et accompagnement.
Sur 40 dossiers, 70 % ont retrouvé une activité rémunérée.
Les liens entre FARE et les CFA, les Centres de formation agréés région, les employeurs, la MLI3M, ont été renforcé et ont permis ces résultats et l’inclusion professionnelle te sociale (un logement) pour les résidents.
Cependant, des éccueils viennent gripper l’investissement des jeunes :
 les stages région a 330€
 la méconnaissance des employeurs sur l’embauche des jeunes (baisse de charges,...)
 leur méfiance // à ceux ayant des difficultés
 ect....
Il faut donc reprendre contact avec le milieu de l’entreprise et convaincre ses décideurs de l’opportunité de recruter un jeune qui est motivé par le fait de se sortir des difficultés, d’apprendre des savoirs etre et faire et de prendre sa place dans la socièté.
FARE Association concrétise cette mission.
Nous avons, également, évoqué la Garantie Jeune, excellent moyen pour qu’un résident ait des ressources, encore faut-il améliorer son accompagnement au niveau des MLI. Envoyer un jeune seul en recherche d’employeurs ou de stage, ne sert à rien, bien sur on va me parler d’évaluation d’autonomie. Je dirai que le manque de moyen humain donc financier, est le noeud du problème. Pas assez de personnel, de temps pour être sur le terrain avec les jeunes.Pour rencontrer les acteurs socio-économiques qui peuvent recruter.

Dans ces deux participations, nous avons souligné, le manque de logement et le manque de moyens pour que ces deux dispositifs soient plus efficaces pour nos résidents jeunes qui ont les capacités et les potentialités pour s’en sortir.

SERONS-NOUS ENTENDUS ??????????

Dernier point : FARE Association est au bureau du SIAO34. Elle compte bien dynamiser ce dispositif qui traite le sans abrisme et le mal logement. Elle prendra toutres ses responsabilités pour faire évoluer cette gouvernance et améliorer l’hébergement et le logement des personnes qui restent encore dehors.
Lees mécanismes et l’organisation du SIAO doivent être réévaluer et le dialogue entre le SIAO et la DDCS et l’Etat doit plus constructifs et équilibré par des actes et non des réunions ou la langueur des décisons à prendre.